Symbolique de l’archange Raphaël
Saint Raphaël, l’un des archanges majeurs, est traditionnellement reconnu comme le porteur de guérison et de réconfort. Son nom, signifiant « Dieu guérit », rappelle sa mission divine : guider les âmes vers la santé spirituelle et physique, offrir protection durant les voyages et apaiser les souffrances de l’âme. Il est une figure majeure dans les traditions chrétienne, juive et islamique, associé à la santé, à la protection et à la guidance.
Brûler une neuvaine dédiée à Saint Raphaël invite à une prière profonde où l’on se place sous sa bienveillance pour rechercher la guérison intérieure, la clarté d’esprit et la paix du coeur. Allumer cette lumière sacrée permet de créer un lien intime avec le céleste, un acte de foi renouvelé, confiant dans l’intercession d’un ange puissant et miséricordieux.
Les archanges comme Saint Raphaël pour les trois religions monothéistes juive ( רְפָאֵל†, Rafa’el), chrétienne et musulmane ( إِسْرَافِيل†, Israfil), sont une catégorie d’anges. Ils en constituent le huitième choeur. Dans la hiérarchie des anges, les archanges forment le second niveau, juste au-dessus des anges eux-mêmes (comme l’indique le préfixe arch- qui signifie « supérieur »).
Il y a plusieurs façons de faire une neuvaine, l’important est de se rappeler que ce n’est pas tant le saint invoqué qui sauve ; mais plutôt la foi mise en Dieu qui accomplit le miracle ou l’action demandée.
Composition & Parfum
Ce parfum s’inspire de l’archange Saint Raphaël, messager de guérison et de réconfort. Les notes fraîches d’orange et de pamplemousse rappellent son éclat céleste, un souffle vivifiant qui apaise l’esprit. En coeur, la figue et le bois de santal symbolisent la douceur de sa présence bienveillante, une chaleur protectrice qui enveloppe l’âme. Enfin, les profondeurs de la fève de tonka et du bois de cachemire évoquent la paix durable qu’il instille, un sillage rassurant qui invite à la sérénité. Ce parfum devient ainsi une ode à la guérison et au réconfort divin, un hommage olfactif à l’ange de la compassion.
Utilisation de la neuvaine
Pour un usage traditionnel, la neuvaine doit être allumée au début de chaque prière et laissée allumée sans interruption, durant les neuf jours et nuits qui suivent. Si la bougie s’éteint d’elle-même, cela est souvent interprété comme un signe que la neuvaine a accompli son « travail ». En revanche, il est conseillé de ne pas l’éteindre soi-même, sauf en cas de nécessité, et toujours à l’aide d’un éteignoir afin de préserver l’intention. Souffler sur la flamme pourrait, selon la tradition, nuire à l’efficacité de la prière. Les croyants récitent chaque jour, matin et soir, la prière inscrite au dos de la bougie en un moment de recueillement, renforçant ainsi leur connexion spirituelle. Dans la liturgie catholique, il est important de respecter le calendrier des jours saints ; on ne compte qu’un seul vendredi dans la durée de la neuvaine, le Vendredi Saint (il ne faudrait donc idéalement pas allumer de neuvaine un jeudi ou un vendredi).